c'est marrant, il a fallu que je vienne chez toi et que je discute avec vous sur le forum. Ca m'a obligée à raconter mon histoire violonistique, et ça m'a permis de la comprendre moi-même, et SURTOUT, de comprendre ce dont j'avais besoin pour me sortir de l'ornière. C''est pour ça que je veux recommencer la progression dès le début parce-que , par exemple, les noires et les blanches dont on connait la mélodie, c'est amplement suffisant pour surveiller sa main et son bras droit du clin de l'oeil et les empêcher de se contracter (vaste chantier

).
Avec les traits en triples croches disjointes, c'est plus compliqué d'être détendu

.
autre exemple, je dois étudier à fond les diverses positions en sachant quelle est la note là ou je pose le doigt (mais non, je ne sais pas : incroyable, non ?)
pour vous illustrer ça voilà une photo de ce par quoi j'ai commencé ma troisième année de violon Couleur obligatoire pour savoir quand bouger la main....arrivée du doigt...incertaine....et au bout d'un moment, le cerveau connait les écarts sans connaître la note....et ça marche (il a même fallu que j'inscrive le code couleur à gauche)
ahah, je ferais le bonheur d'un neurochirurgien, il doit y avoir un drôle de bordel la haut !

Range te affaires, disait ma mère


d'ailleurs le LA 4ème doigt sur la dernière ligne, je le joue mais je n'avais pas mis de couleur parce-que je ne savais pas (et je ne sais toujours pas) dans quelle position il est !
